Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

samedi 1 avril 2017

Les neurones à glutamate et la paralysie du sommeil paradoxal

http://presse.inserm.fr/sommeil-paradoxal-ces-neurones-qui-nous-paralysent/26041/


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont autorisés et soumis à modération pour éviter des polémiques qui ne feraient qu'aggraver par le stress les symptômes de notre maladie. Ayant déjà eu affaire à des trolls ( faux profil pour provocation), je demande aux personnes qui commentent d'accepter de me communiquer leur numéro de téléphone par sécurité avant publication.

Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos