Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

jeudi 20 avril 2017

Un traitement à problèmes


Un traitement à problèmes


Accoutumances, sevrages

Les proches ne manquent pas de lire tout (?) ce qui passe à leur portée.
Lorsqu'ils lisent ceci, VALABLE pour les Parkinsoniens, bien plus atteints que les Willis Ekbom, plus lourdement traités, ils recensent tous vos comportements et les classent parmi ces excès. (Comme on aime voir le pire!!!)
Pourtant... le profil défini est très particulier... Notamment, les addictions touchent des gens ayant déjà une propension à l'addiction (fumeurs, buveurs...), des hommes, jeunes, parkinsoniens...
Alors, non, la situation est déjà dramatique, n'y ajoutons pas des accusations déplacées, des soupçons de cumuls d'hyper sexualité, de surconsommation, etc....
Il y a peut-être autre chose à faire qu'accabler ce type de malades?

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos