Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

jeudi 20 avril 2017

Les traitements dopaminergiques, jeux d'enfants

On l'a vu, ils ne sont pas bénins.

Et parfois, ils deviennent augmentant (ils n'aggravent pas la maladie mais les symptômes)

Et parfois ils vous réussissent bien et puis on en interdit la prescription au titre de risques... qui ne vous concernent pas nécessairement.

Comme on l'a vu dans l'article sus cité, les risques d'addiction concernent les lourds traitements des parkinsoniens, notamment jeunes, mâles, et facilement addict.

Pas jeune, femelle, et addicte à rien du tout (ni alcool, ni cigarette, ni fumette, RIEN), le Trivastal me réussissait très bien, on ne peut plus me le prescrire.

remplacé par Adartrel, qui est devenu augmentant.

Remplacé par Neupro, qui ne tient pas plus de 8 h sur ma peau.

Remplacé par Sifrol... C'est pas le bonheur.

Et après?

Le Trivastal

Maintenu pour Parkinson, donc pour les personnes qui risquent le plus. Il n'a jamais été indiqué pour les jambes sans repos, mais comme tous les traitements anti-parkinson, ils nous réussissent très bien.
On pourrait se fier à nos perceptions? NON, nous sommes des enfants déraisonnables, soumis à l'inconscient, à l'effet placebo.

Bizarre, nos "Maîtres" oublient toujours l'effet nocebo.

Excusez-moi, chers docteurs, êtes-vous sûrs d'avoir ainsi besoin d'assurer votre supériorité? Non, parce qu'on vous retournerait bien vos compliments psychnatrucs, hein? Diminuer ainsi l'autre, c'est symptomatique de quoi?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont autorisés et soumis à modération pour éviter des polémiques qui ne feraient qu'aggraver par le stress les symptômes de notre maladie. Ayant déjà eu affaire à des trolls ( faux profil pour provocation), je demande aux personnes qui commentent d'accepter de me communiquer leur numéro de téléphone par sécurité avant publication.

Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos