Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mercredi 2 juillet 2014

Willis Ekbom : A devenir asociaux

Bonsoir 
j'ai enfin un rdv le 18/7 pour changer le traitement après adartrel et maintenant sifrol j'ai trop d'insomnie je suis user physiquement et psychologiquement sa ne peut plus durer 
je crie toute la journée 
je suis sur les nerfs toute la journée et tout le monde prend mes filles comme mon homme 
il faut une solution je les aimes mais je l'ai fait souffrir 
même un devoir avec ma fille de 6 ans je m'énerve incroyable si elle n'y arrive pas même aller au parc tellement fatigué j'y vais rarement
les choses les plus basic je n'y arrive plus et mon homme qui supporte sa mais qui en a marre d'entendre sans cesse crier car je démarre au quart de tour
donc j'espère avoir cette solution qui me pourri mon quotidien

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos