Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mercredi 2 juillet 2014

Willis Ekbom :Gare au sevrage

Comme je vous l'ai écrit et après discussion de mon médecin, j'ai réduit ma dose d'Adartrel le soir. Deux nuits à gigoter ... la deuxième étant particulièrement pénible. Je ne sais pas s'il s'agit d'un effet de sevrage ou si tout simplement la dose est trop faible pour pallier mes symptômes. S'il s'agit d'un effet de sevrage et que je peux espérer voir la réaction diminuer ... je veux bien persévérer. En ch... un bon coup mais pour la bonne cause ! Dans le cas contraire, je reprendrai la dose initiale. Avez-vous des expériences de sevrage pour réduire la dose qui ont fonctionné ? Comment ça s'est passé ? Je ne parle pas du sevrage d'un médicament pour en prendre un autre. Mais bien d'un sevrage pour réduire la dose de médicament ! Merci de vos témoignages !  



  • Nadia :  Perso, je me suis sevré du sifrol ! Mais je n'avais qu'un petit dosage ! J'y suis allé petit à petit ( il m'a fallu presque un an ) par peur d'effet rebond, ce qui m'était arrivé un soir où j'ai oublié de le prendre ! Mais maintenant, ça se passe bien, je regigote la nuit, ça me réveille, mais je ne souffre pas, juste des coups de pompe dans la journée ! Bon courage pour ton sevrage ! J'ai remarqué qu'en mangeant plus sain, j'avais moins les jambes sans repos ! Je reste accro aux cochonneries ( gâteaux industriels ! ), mais lorsque je n'en mange pas, mes jambes bougent moins et je me suis mise au déca !


    Reine : Il est difficile de dire comment cela va évoluer... quand on arrête un médicament ou qu'on le diminue, il y a souvent ce type de réaction. J'avais tenté à une époque d'arrêter temporairement car je devais sans cesse augmenter les doses de médicaments. Et je savais que si on stoppait quelque temps, le médicament retrouvait son efficacité à des doses plus faibles. Mais ça a été tellement catastrophique que j'ai été obligée de reprendre très vite le traitement. Les douleurs étaient revenues en force et impossible de dormir. Donc pour moi, l'expérience n'a pas été concluante. Bon courage!
12 jours sans prise de médicaments , j'ai du m'y remettre cette nuit à la demande de mon mari . Comme j'avais gardé rivotril , je dormais bien sans sentir la crise mais lui ne pouvait pas dormir à cause de mon agitation . Parmi ma panoplie , j'ai choisi le patch Neupro pour finir ma nuit .. Et je recommence mon traitement des aujourd'hui ! De toute façon vu la fatigue que montrent mes jambes en journée au point de ne pas supporter un étage d'escalier , je me doutais bien qu'elles ne.se reposaient jamais !  

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos