Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

lundi 7 juillet 2014

Willis Ekbom : Douleurs de croissance, rhumatismes et impatiences

Comme beaucoup, j'étais censée avoir des douleurs de croissance dans mon enfance. Ma môman massait mes jambes avec de l'alcool camphré, ma foi, le massage à tout le moins me soulageait. Aujourd'hui, j'associe ces douleurs à ma maladie et aux rhumatismes, qui sont chez moi intimement liés. La chaleur aggrave la maladie, l'humidité déclenche les rhumatismes. A la frontière espagnole, j'habite près d'un torrent. C'est dire que chaleur et humidité sont mon lot chaque été.

Pour soulager la maladie, il me faut du froid pour les jambes.

Pour soulager le rhumatisme, du chaud.

Autant dire que quand j'ai les deux en même temps, je ne sais plus où mettre mes jambes (ma tête non plus qui ne peut résoudre cette contradiction.)

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos