Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

lundi 7 juillet 2014

Willis Ekbom : Le balai de nuit

Enfant, j'entendais souvent ma mère passer le balai la nuit. Cela me fendait le coeur : "maman, va dormir" "Tout à l'heure, ma chérie".

C'est quelques années plus tard, quand j'ai commencé à faire des abdominaux dans mon lit que j'ai compris pourquoi ma maman balayait la nuit.

Ma fille aussi a la maladie de Willis Ekbom. Elle l'appelle "le monstre des jambes"

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos