Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

jeudi 3 juillet 2014

Willis Ekbom : Des nuits... à vouloir mourir

Trop mauvaise nuit ! Ça pouvait pas durer , les nuits de 8 h c'était trop beau !! J'ai si peu dormi ... douleur 3 sur 10, envie d'être cul de jatte 10 sur 10 !! Finir par fumer dehors à 4h du matin pour m'endormir enfin pour 2h. Réveil bien sûr dans le cirage avec mains et pieds gonflés pour aider ma super migraine et ma nausée !!! La journée va pas être simple !! Bon courage à ceux qui ont passé une aussi mauvaise nuit.


Encore une nuit à passer mon temps à marcher. Une demi heure de sommeil seulement et je dois assurer mes cours avec des élèves surexcités par les vacances. Je ne supporte plus tout ça. Parfois je pense qu'il vaudrait mieux mourir: c seul traitement qui marche



infernal, infernal, la folie est à la porte, cela fait + 1 mois que les jambes et les bras sont pris de spasmes, fourmillements, sursauts et douleurs à n'en plus finir. Frotter, pincer, marcher, bouger, douche, médocs, rien ne soulage. Pas moyen de dormir, une zombie, plus de moral, plus d'envie, une humeur de chien et les nerfs à fleurs de peau. Une solution, un traitement valable et efficace pour quand ????????



Deuxième nuit ou j'atterrit sur le canapé, j'en suis à 8 gouttes de rivotril, et rien  pourtant ça fait plutôt bien effet, j'espère que c juste une passade, mais mon lit me manque, ras le bol de finir par dormir d'épuisement sur le canapé et d'enchainer les journées de boulot. Bonne nuit à ceux qui le peuvent, courage aux autres.




J'ai vécu la nuit dernière un calvaire au point de me frapper les jambes pour arrêter les douleurs , je me suis écroulée à 8h du matin après avoir pris tous les médicaments que je trouvais. C'était la pleine lune, il y a t'il un rapport ? Avez vous rencontré le même problème ?





  • je prends Imovane vers 22h, m'endors entre 22h30 et 23h et à partir de 3h je dors 15 min je me re réveille puis re dort 15 min et cela jusqu’à mon réveil qui sonne à 5h40, alors autant vous dire que je me lève très fatiguée avec l'impression de pas avoir dormi. Des fois j'essaye de faire une petite sieste l'aprés midi (je travaille jamais entre 12h et 17h) mais impossible de m'endormir (trop besoin de bouger les jambes, les bras).

  • ce que vous subissez au milieu de la nuit c'est exactement ce que rencontre la majorité d'entre nous...on jongle sans cesse entre éveil et endormissement. Dans ce cas, plutôt que de rester couchée, je me lève pour doucher les jambes et ensuite j'arrive me rendormir pour un temps beaucoup plus long. En ce qui concerne Imovane, ce médicament me fait penser à Stilnox, c'est un hypnotique (somnifère) et on en devient vite dépendant en traitement prolongé et il faut alors augmenter la dose. Je prends occasionnellement 1/2 Stilnox mais le lendemain j'ai la tête dans les choux et j'évite de prendre la voiture à cause de la somnolence qui persiste.










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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos