Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

jeudi 3 juillet 2014

Willis Ekbom : Des photos pour ne pas devenir folle

title="SJSR photos" Certaines périodes particulièrement chaudes, obligée de marcher marcher marcher à ne plus tenir debout, mais impossible de s'asseoir pour se reposer, j'ai eu recours à ma passion photographique : j'ai pris mon téléphone portable, une glace, et je me suis photographiée en cherchant à mettre en évidence l'avancée lancinante du marcheur forcé que nous sommes tous.

En voici quelques unes

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle


Le supplice du train (ou de l'avion ou du car) : marcher assise

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle


Manger debout (eh oui, parfois il est impossible de tenir un repas à table)

Marcher pour ne pas devenir folle

Marcher pour ne pas devenir folle

Tremper les jambes dans des remous de torrents glacés




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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos