Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mercredi 2 juillet 2014

Willis Ekbom : Pas de plâtre sans morphine

    Bonjour à tous ! Petite question : y en a t-il parmi vous qui ont dû avoir un plâtre à une jambe et comment avez-vous géré ?



    Lu :  Pour ma part, je refuserai le plâtre, sauf à avoir de la morphine


    Va : Impossible de gérer ça!


    Lau :  Ouh la, c'est vrai, je n'y ai jamais pensé !!!


    Céline : J'y pense parce que je me suis foulé la cheville j'ai une atelle et je peux me déplacer mais vendredi soir je ne pouvais pas ... L'horreur !


    Va : Ca m'est arrivé il y a 3 mois et je n'ai pas su gérer c'est une véritable horreur


    Sylvie : pour l'avoir été 2 fois je confirme que c'est un véritable enfer


    Lu :  il faut qu'ils trouvent des solutions avec des attelles légères et la possibilité de bouger la jambe, pour nous, le plâtre est impossible


    Val : Autant rêver c déjà difficile de faire reconnaître cette maladie!!!


    Lu : Je sais. Je refuse toute hospitalisation


    Val G : J'ai été hospitalisée 1 mois j'ai cru devenir folle plus jamais çà


    Lu : et si je me casse quelque chose, mon généraliste connaît ma situation, il se débrouillera


    Lu :  ou alors, rebouteux


    Val :  Pareil pour moi


    Lu :  http://jeantosti.com/histoire/don.htm
    Le rebouteux
    jeantosti.com
    A Ille-sur-Tet et dans la commune voisine de Saint-Michel de Llotes, chacun conn...

    Val :  Merci pour l info

    Lu :  http://soignez-vous.com/2008/04/22/les-fractures-osseuses/

    Traiter les fractures osseuses grâce aux médecines naturelles
    soignez-vous.com
    Après la remise en place des os, ce qui relève souvent de la chirurgie, voyons c...Afficher la suite

    Myriam : Oui tout l'été passé. Suis sous médicament "Adartrel"et cela m'aide beaucoup. Mais où j ai souffert c est le moment du réveil après la rachidienne où la jambe veut bouger toute seule. Ai dû insister auprès des infirmières pour pouvoir prendre mon medicament. Courage! Bel été à vous


    Lau : Bonjour, idem hospitalisation d'urgence il y a 2 ans et mon mari a apporté mes médicaments mais les infirmières ont tout pris refusant de me les donner tant qu'elles avaient pas l'accord de mon médecin c'était un vendredi soir. Je suis restée tout le weekend end sans rien prendre. Elles n'osaient même plus entrer dans la chambre tellement j'étais hystérique ! Elles ont même voulu m'attacher pensant que j'étais une droguée en manque. Heureusement que mon mari m'en a donné en cachette le dimanche soir. Là je dois subir une opération qui va m'obliger à rester allonger une semaine et j'ai prévenu le médecin que c'était morphine obligatoirement et j'ai planqué tous mes médocs un peu partout dans ma valise !


    Lu :  pareil pour une nuit aux urgences


    Val :  Pareil pendant 1semaine le médecin refusait de croire a cette maladie ça existe pas selon lui. J'ai fini par péter un câble


    Lu :  l'AFE délivre une carte que le médecin soignant peut signer, avec le traitement
    Il faudrait avoir toujours sur soi des documents explicatifs

    Val :  Je les avait mais il disait que c moi qui inventait!!!!

    Lu :  ils sont graves, parfois

    Val :  Oui! J' en ai changé aujourd'hui je supportais plus souffrance qu il m imposait


  • Alain :  J ai été opéré d un genou... j ai beaucoup stresse avant l operation. J avais prevenu le chirugien qui m a donne des comprimes de morphine. Je n ai jamais aussi bien pendant et apres l operation plus de douleur et plus de jambes sans repos une merveille qui a dure 15 jours le temps de prise de la morphine.

    Lu : voilà un exemple encourageant

    Sarah A eu 5 opérations et chaque une horreur de rester sans bouger quand tu as qu'une envie c'est de te lever et marcher










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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos