Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mardi 8 juillet 2014

Willis Ekbom : Mes vidéos témoignages

Lors de l'été paroxystique de 2011 (syndrome d'augmentation dû à l'adartrel), ne pouvant rester longtemps assise, obligée de marcher marcher marcher sans trêve ni repos, j'ai opté pour des témoignages vidéos. Le premier est à écouter en retournant l'image mentalement, un photographe travaille souvent en portrait et la vidéo demande le mode paysage.

1ère vidéo, avec une logique de photographe...



Pour Catherine (publié sur expert santé publique)








Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont autorisés et soumis à modération pour éviter des polémiques qui ne feraient qu'aggraver par le stress les symptômes de notre maladie. Ayant déjà eu affaire à des trolls ( faux profil pour provocation), je demande aux personnes qui commentent d'accepter de me communiquer leur numéro de téléphone par sécurité avant publication.

Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos