Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mercredi 2 juillet 2014

Willis Ekbom : Attention au syndrome d'augmentation

L'un des principaux problèmes est que la plupart des médicaments induisent un syndrome d'augmentation. Il faut augmenter les doses, jusqu'à en arriver au maximum et au bout d'un certain temps ce n'est même plus suffisant. Alors il faut changer de traitement et tout recommence... ce programme n'est pas très attrayant, pourtant à l'heure actuelle, c'est l'une des seules voies proposées... notre seule "chance" dans tout cela, c'est que lorsqu'un médicament a été abandonné pendant un certain temps, il retrouve son efficacité initiale, mais c'est une bien maigre consolation.



  • vous avez bien fait de parler du syndrome d'augmentation. Beaucoup de personnes ne connaissent pas ce cercle vicieux dans lequel les entraînent certains médicaments, surtout les agonistes dopaminergiques (adartrel, sifrol...) Elles ne comprennent pas pourquoi au départ elles sont soulagées et à un certain moment, le traitement n'agit plus. Il faut alors en changer ou rajouter d'autres molécules pour trouver une solution de tenir le coup. Et là, c'est souvent le cumul des effets secondaires qui détraque encore plus ! Lorsqu'il y a syndrome d'augmentation, j'ai l'impression aussi que cela s'étend à d'autres parties du corps comme les bras. Chez moi, au repos, j'avais des décharges jusque dans la tête.
  • Je ne me voit pas vivre sans l ordonnance de mon médecin et neurologue . Accoutumance certes pour certaine personnes qui ont un dosage très important … Il ne faut pas augmenter sans avis médical et ne le faire que sur quelques jours quand la crise est trop forte .

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont autorisés et soumis à modération pour éviter des polémiques qui ne feraient qu'aggraver par le stress les symptômes de notre maladie. Ayant déjà eu affaire à des trolls ( faux profil pour provocation), je demande aux personnes qui commentent d'accepter de me communiquer leur numéro de téléphone par sécurité avant publication.

Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos