Pire que la mort : vivre sans vivre

Pire que la mort: vivre sans vivre.
Impatiences, agitation des jambes, décharges électriques, besoin impérieux de marcher, impossibilité de rester assis ou couché, sommeil dégradé, nuits d'éveil, journées somnolentes, isolement social, épuisement, envie de mourir ...

mercredi 2 juillet 2014

Willis Ekbom : Une nuit d'enfer


    Publication de Valérie

    Une nuit d'enfer après avoir souffert, claqué les pieds par terre, me donner des coups sur les jambes j'ai fini par m'endormir d'épuisement à 7h. Cette nuit fut une des pires que j'ai eu alors que étais tranquille depuis une semaine. Et vous ?





    Annie : Bonjour, étrangement moi aussi, j'ai rarement eu aussi mal alors que d'habitude mon ropinirole fait relativement bien effet. Serait-ce la chaleur? Un sous-dosage? Les jours qui diminuent de nouveau? Bon courage...


    Marie :  Dans le 62 il faisait pas chaud donc c pas ça ! Mais je suis épuisée heureusement rtt


    Lau : Nuit difficile, entre douleurs aux jambes et bras et les klaxons et pétards des Algériens... :-((


    Yo :Aux urgences ce matin douleurs insupportables depuis une semaine et plus rien ne me soulage


    Renée : Dur cette nuit aussi : difficultés à m'endormir


    Reine : Douleurs hier soir, mais cette nuit ça a été.


    Mylène : Nuit de dimanche à lundi debout et depuis c'est tout calme alors que j'ai arrêter mes médicaments depuis dimanche dernier ... je passe des nuits plutôt correctes ! Cette maladie est vraiment sournoise et lunatique !!!


    Choupette : c'est la nouvelle lune aujourd'hui

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Marcher, marcher, marcher sans trêve ni repos